Le sénateur Jean-Marie Bockel publie une intéressante lettre ouverte aux équipementiers de télécommunication chinois.
Cette lettre appelle les autorités françaises, l'Europe et la Chine à dialoguer. La France doit faire entendre sa voix, et affirmer qu'elle ne saurait accepter de voir ses communications interceptées, filtrées, analysées, par des acteurs de la scène internationale déloyaux: "... les efforts consentis par les entreprises françaises pour augmenter leur compétitivité via des investissements importants en matière de système d'information se révèlent, en cas d'espionnage, servir leurs concurrents. C'est l'un des aspects masqués d'une mondialisation déloyale qu'il faut rendre plus visible. Il en va de notre souveraineté, de la survie de nos entreprises et de la préservation de nos emplois. »
Dans le même temps, l'AFP publie une dépêche: "La moitié des créanciers de la France, pour la dette levée en 2012, sont en Asie et au Moyen-Orient, contre à peine un tiers pour la zone euro, indique Philippe Mills, directeur général de l'Agence France Trésor (AFT) dans un entretien publié vendredi par le site Next Finance."
Souveraineté malmenée.
Cette lettre appelle les autorités françaises, l'Europe et la Chine à dialoguer. La France doit faire entendre sa voix, et affirmer qu'elle ne saurait accepter de voir ses communications interceptées, filtrées, analysées, par des acteurs de la scène internationale déloyaux: "... les efforts consentis par les entreprises françaises pour augmenter leur compétitivité via des investissements importants en matière de système d'information se révèlent, en cas d'espionnage, servir leurs concurrents. C'est l'un des aspects masqués d'une mondialisation déloyale qu'il faut rendre plus visible. Il en va de notre souveraineté, de la survie de nos entreprises et de la préservation de nos emplois. »
Dans le même temps, l'AFP publie une dépêche: "La moitié des créanciers de la France, pour la dette levée en 2012, sont en Asie et au Moyen-Orient, contre à peine un tiers pour la zone euro, indique Philippe Mills, directeur général de l'Agence France Trésor (AFT) dans un entretien publié vendredi par le site Next Finance."
Souveraineté malmenée.