Le Ministère de la Défense de la République du Kenya vient de publier un rapport (mai 2017) intitulé "
Gender Policy" dans lequel peut lire : "Technology has enhanced habitability and survivability in combat making it easier for both men
and women to engage in operations. The emerging trends in conflict call for complementary roles
of men and women for example in cyber warfare, terrorism inter alia. This type of warfare presents
opportunities for women through the entire war spectrum".
Mais le document ne revenant plus par la suite sur les enjeux "cyber", nous ne comprenons pas en quoi hommes et femmes peuvent être complémentaires dans le cyberconflit, ni en quoi ce dernier offre des opportunités particulières aux femmes.
Notons par ailleurs que le même ministère vient de publier son
Livre Blanc (23 pages, 2017) accordant en tout et pour tout 6 lignes au domaine "cyber": "Information technology, web based communication and use
of electronic devices for storage predisposes sensitive Government
information to organized cyber attacks which can undermine
state security. The Ministry of Defence in collaboration with other
stakeholders must develop appropriate capacity and institute
measures to safeguard Information systems infrastructure." C'est donc le Ministère de la Défense qui, au Kenya, aura la charge de la cybersécurité de l'infrastructure des systèmes d'information (le texte est imprécis sur ce point: s'agit-il des seules infrastructures de communication militaires, ou bien de celles du pays en général?).